ANALYSE FINANCIER -Cour-


PLAN DU COURS

INTRODUCTION GENERALE............................4

CHAPITRE I : LA DEMARCHE D’ANALYSE FINANCIERE......9

I- LES OBJECTIFS DE L’ANALYSE FINANCIERE...............10

II-LE SCHEMA DIRECTEUR DE L’ANALYSE......................12

CHAPITRE II: ANALYSE DE L’EQUILIBRE FINANCIER........16

I - ÉTUDE DESCRIPTIVE DU BILAN COMPTABLE ............16

II. L’APPROCHE FONCTIONNELLE.......................................22

III. L’APPROCHE FINANCIERE ..............................................35

CHAPITRE III : ANALYSE DE L’ACTIVITE ET

APPRECIATION DES PERFORMANCES DE L’ENTREPRISE .56

I. LES RETRAITEMENTS DES POSTES DU CPC..................60

II. L’ETAT DES SOLDES DE GESTION ET LE TABLEAU

DE FORMATION DU RESULTAT........................................... 65

III. LA CAPACITE D’AUTOFINANCEMENT et

L’AUTOFINANCEMENT ......................................................... 80

CHAPITRE IV : LA METHODE DES RATIOS ............... 87

I. LES RATIOS DE STRUCTURE ............................................ 89

II. LES RATIOS DE RENTABILITE ........................................ 97

III. LES RATIOS DE ROTATION OU LES RATIOS DES

IV. LES RATIOS DE LIQUIDITE OU DE TRESORERIE .....114

V. Cas de synthèse .....................................................................115

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Economie et marchés financiers


INTRODUCTION

Avec le développement des systèmes de production dans les entreprises, ces
unités de production affichent un besoin pressant pour la gestion. Le management
ou la gestion est aujourd’hui l’eau de vie de toute entreprise ou de tout projet,
d’autant plus que 90% des faillites d’entreprise aux Etats-Unis est due à une
mauvaise gestion et à l’incompétence des managers. Avec la mondialisation, on
retrouve des multinationales un peu partout dans le monde. Des firmes occidentales
s’implantent dans des pays dont elles différent parfois d’un point de vu culturel,
religieux ou  bsocial et dont elles ont intérêt à concilier les valeurs sociales,
religieuses et culturelles de l’environnement dans lequel elles veulent s’implanter et
ses propres valeurs. On remarque aussi une application intense des principes
religieux au sein de l’entreprise, dans les administrations, dans l’armé et dans tout
autre domaine qui nécessite une gestion.
Le management islamique peut être défini comme étant l’adaptation des principes
islamiques contenu dans le Coran et la sunna à la gestion des hommes et des
affaires. L’Islam n’est pas seulement unes façon d’adoration de Dieu mais c’est
aussi tout un mode de vie, toute une normalisation des comportements, des aptitudes
et des lois à respecter, que ce soit dans le domaine économique, juridique,
administratif ou social. L’islam a instauré des règles managerielles afin de mieux
planifier, organiser, coordonner et contrôler l’ensemble des ressources humaines,
matérielles et financières. Les entreprises qui délocalisent vers une clientèle en
majorité musulmane ont donc intérêt à adopter des pratiques managerielles
conformes à la religion musulmane. Ainsi on remarque l’essor du management
islamique.
Il est donc important d’éclaircir quelques points à ce sujet :
Qu’est ce que le management islamique ?
Quelles sont les caractéristiques d’un manager selon l’islam ?
Quelles sont les sources du management islamique ?
Quels sont les principes fondateurs du management islamique?
Quelle est la vision islamique des quatre processu   s de gestion ?
Quelle est la vision managerielle du compagnon du prophète 


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QUEL EST LE ROLE ECONOMIQUE DES BANQUES ?



Les banques sont les établissements financiers qui collectent les dépôts du public (en particulier les dépôts à vue) et qui accordent des crédits aux entreprises et aux ménages. Elles font partie, au même titre que les sociétés d'assurance et les organismes de placement collectif en Bourse, de ce que les économistes appellent les intermédiaires financiers. Ces derniers ont pour fonction de collecter l'épargne des agents économiques ayant une capacité de financement (la plupart des ménages et certaines entreprises) pour la distribuer aux agents ayant un besoin de financement (l'État, la plupart des entreprises et certains ménages). Mais les épargnants peuvent aussi investir directement sur les marchés financiers en achetant les titres émis par certains emprunteurs. Selon que ces agents prêteurs et emprunteurs se rencontrent ainsi directement sur le marché ou par le biais d'un intermédiaire financier, on parle de “financement direct” ou de “financement indirect ou intermédié”. 
Parmi les intermédiaires financiers, les banques (que l'on nomme aussi les établissements de crédit) sont les seules à détenir le pouvoir de création monétaire. En effet, chaque fois qu'une banque accorde un crédit, la quantité de monnaie en circulation dans l'économie augmente, car ce crédit se matérialise nécessairement (au moins dans un premier temps) par un dépôt supplémentaire (la banque “crédite” le compte de l'emprunteur), que l'emprunteur utilise ensuite comme il le souhaite. Le système bancaire joue donc un rôle crucial dans le processus de création monétaire. 
L'économie bancaire traditionnelle s'intéressait essentiellement aux liens entre monnaie et crédit au niveau macroéconomique et en particulier aux mécanismes de transmission de la politique monétaire menée par la banque centrale. L'approche moderne, qui s'est développée à partir du début des années 1980 et que nous présentons ici, adopte un point de vue plus microéconomique, en étudiant de façon détaillée le comportement des banques individuelles confrontées à l'évolution de leur environnement concurrentiel et réglementaire. 
La recherche récente en économie bancaire a étudié trois questions principales. Quel est le rôle spécifique des banques par rapport aux marchés financiers? Quelles sont les raisons de la fragilité bancaire, ou autrement dit, pourquoi y a-t-il tant de crises bancaires? Et enfin, quelles sont les justifications et les modalités souhaitables de l'intervention publique dans le secteur bancaire? Le développement sans précédent des marchés financiers au cours des dernières décennies a obligé les intermédiaires financiers à évoluer de façon importante, sans rien ôter, au contraire, à la pertinence de ces trois questions.


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E-marketing et E-commerce

E-marketing et E-commerce

INTRODUCTION 

CHAPITRE 1. DEVOIR ET SAVOIR ÊTRE PRÉSENT SUR INTERNET 13

I. Le marché de l’e-commerce 13
II. Les enjeux d’une présence sur Internet 17
III. Adapter sa présence Web à son mix marketing 30
IV. Un site à son nom 41
V. Une page d’accueil à son image 43
VI. Le Web 2.0: évolution ou révolution? 55

CHAPITRE 2. LES SERVICES 59

I. Les enjeux 59
II. Aide et information 61
III. Le processus de commande 69
IV. Les solutions de paiement sécurisé 76
V. Les services à valeur ajoutée 84

CHAPITRE 3. DU MERCHANDISING MAGASIN À L’E-MERCHANDISING: PRÉSENTER SES PRODUITS ET SERVICES 91

I. Introduction au merchandising 91
II. Du merchandising physique à l’e-merchandising 95
III. Produits et catégories 111
IV. Le suivi des performances 116

CHAPITRE 4. SAVOIR SE PROMOUVOIR 119

I. Le marketing de la recherche 121
II. Le partenariat et l’affiliation 142
III. La publicité 148
IV. La collecte et l’enrichissement de bases de données 166
V. Faire parler de son site 180
VI. Blogosphère, forums: le participatif au service de la relation
marque/consommateur 185
VII.Le mobile marketing 189
VIII.Le mix promotion 191

CHAPITRE 5. E-CRM: OPTIMISER SES VENTES 195

I. Les enjeux de l’animation commerciale 196
II. Les promotions: outils, montage et suivi 199
III. le marketing relationnel 205
IV. Concevoir un message promotionnel 214
V. Fidéliser les clients 227
VI. L’analyse d’audience 237
VII.Prospective: «trigger» ou «automation» marketing 239

CHAPITRE 6. SERVICE APRÈS-VENTE & LOGISTIQUE 241

I. Les enjeux du service après-vente et de la logistique 241
II. La gestion d’une commande 243
III. La gestion des retours 246
IV. Les engagements et le rôle du SAV 250
V. La logistique 255

CHAPITRE 7.CAS ET OUTILS PRATIQUES 261

I. Exemples de site 261
II. Check-list 274
LEXIQUE 279
ANNEXES 283
I. Infos utiles 283
II. Solutions bancaires 287
III. Cadre juridique 289

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LES MISSIONS DE LA TRESORERIE GENERALE DU ROYAUME TGR



LES MISSIONS DE LA TRESORERIE GENERALE DU ROYAUME TGR
1- Le recouvrement des créances publiques

La TGR assure, par le biais de son vaste réseau de comptables publics, la perception des recettes fiscales et non fiscales, à travers notamment :
·         la gestion du contentieux administratif et judiciaire relatif au recouvrement et l’assistance des percepteurs en la matière;
·         la prise en charge des ordres de recettes au titre du budget général de l’Etat, des budgets annexes et des comptes spéciaux du Trésor;
·         la centralisation des prises en charges et des recouvrements au titre des amendes et condamnations pécuniaires;
·         la gestion des comptes de prêts et d’avances accordées par le trésor et de «fonds de roulement»consentis par des organismes de financement des projets publics;
·         l’élaboration des statistiques concernant la situation du recouvrement de créances publiques;

2-Le contrôle et le paiement des dépenses publiques

La TGR assure le contrôle et le règlement des dépenses publiques. Ainsi, le réseau de la TGR est chargé de contrôler la régularité des engagements de la quasi-totalité des dépenses de l’Etat. Elle assure à travers son réseau de comptables, le règlement desdites dépenses. En effet, au vu des propositions d’engagement et des ordres de paiement transmis par les ordonnateurs accrédités, les services de la TGR procèdent au règlement des créances de l’Etat.
La Trésorerie Générale assure également par le biais de la Paierie  Principale des Rémunérations (PPR), le contrôle et le traitement de la paie de prés 650.000 fonctionnaires.

3-La gestion des finances locales

A travers son réseau de trésoriers et receveurs communaux, la TGR assure la gestion des budgets de 1659 collectivités locales, de 86 groupements et de 41 arrondissements,
En effet, la TGR procède au recouvrement de leurs créances, au règlement des leurs dépenses et à la paie de leur personnel.
La TGR met à contribution également son expertise en offrant le conseil et l’assistance nécessaires aux collectivités locales .Ce conseil qui est de nature juridique et financière, concerne, entre autres, la modernisation des procédures comptables, l’analyse financière et l’élaboration des tableaux de bord. 

4- La gestion des dépôts au Trésor

La TGR assure la mission de gestion des dépôts au Trésor. Elle participe à travers cette activité au financement de la trésorerie de l’Etat. A ce titre, elle gère les comptes des entreprises et établissements publics qui sont soumis à l’obligation de dépôt de leurs fonds au trésor . Cette activité est étendue également à la gestion des dépôts d’autres personnes morales ou privées.

5-La production de l’information financière et comptable

La TGR assure la centralisation des opérations comptables de l’Etat et des collectivités locales et de ce fait elle constitue une référence en matière de production et de valorisation de l’information comptable de l’Etat et des collectivités locales.
La production de l’information comptable permet ainsi de :
-         décrire précisément les opérations budgétaires et financières.
-         restituer rapidement une information fiable et indispensable à la prise de décision.

-         préparer les documents relatifs à la reddition des comptes.

11 Sujets pfe sur Economie Financière


 Economie Financière 


  1.  L’adhésion des organismes internationaux aux objectifs de lutte contre la pauvreté à travers les programmes axés sur le micro financement ; 
  2.  Analyse de l’utilisation des agrégats monétaires comme objectifs intermédiaires de la politique monétaire au Maroc ; 
  3.  L’apport du contrôle de gestion à l’amélioration de la performance bancaire : cas de la Banque Populaire ; 
  4.  L’apport de la gouvernance à la promotion des investissements directs étrangers : cas du Maroc / Tunisie ; 
  5.  L’apport des juridictions financières à la gouvernance : essai d’évaluation des rapports annuels de la cour des comptes : 2005, 2006 et 2007 ; 
  6.  Les aspects juridiques et techniques de l’introduction en bourse ; 
  7.  Attractivité et dynamique des investissements directs étrangers au Maroc : secteur automobile et secteur aéronautique ; 
  8.  La balance des paiements et la compétitivité le cas du Maroc ; 
  9.  Bourse et éthique à la lumière de la crise financière internationale : cas du Maroc ; 
  10.  Le budget axé sur les résultats et la gouvernance financière : cas du Maroc ; 
  11.  Cadre réglementaire, mesure et gestion du risque opérationnel : cas de la CDG capital ;

11 sujet PFE sur G.R.H



11 sujet PFE sur G.R.H :

GRH 
  1.  Les besoins en formation des entreprises marocaines ; 
  2.  Mobilisation des ressources humaines et indicateurs clés de succès des entreprises ; 
  3.  GRH dans le cadre islamique ; 
  4.  Contrôle de gestion et tableau de bord ; 
  5.  Le tableau de bord social ; 
  6.  L’analyse d’un système d’audit au sein des organisations ; 
  7.  Lutte contre le décrochage professionnel des seniors ;  L’impact de pratiquer la GRH sur les performances sociales des employés; 
  8.  Le management de la relation/partenaire : cas X ; 
  9.  La motivation au travail entre marketing interne et gestion des ressources humaines : cas des cadres de l’administration centrale marocaine ; 
  10.  Vers une stratégie de la G.R.H pour la compétitivité des entreprises (cas des P.M.E de la région X) ; 
  11. L’évaluation des ressources humaines d ans les entreprises privées marocaines ;

29 Sujets de PFE sur Commerce, Marketing & Communication


Commerce, Marketing et Communication 
  1.  Le commerce agricole marocain entre la mondialisation et la régionalisation des échanges ; 
  2.  Contribution à la gouvernance des ports de transbordement : cas du complexe portuaire Tanger Med ; 
  3.  Le formalisme en droit commercial marocain ; 
  4.  Le prêt à intérêt en droit marocain; 
  5.  La publicité mensongère et la protection du consommateur en droit marocain ; 
  6.  Le capital marque ; 
  7.  La fidélisation de client dans une entreprise : un objectif primordial ; 
  8.  Marketing relationnel et événementiel sportif ; 
  9.  Évolutions du comportement des consommateurs marocains dans l’e-commerce BtoC ; 
  10.  La Promotion des Ventes : les enjeux de son développement ; 
  11.  Le marketing social pour fidéliser les cadres ; 
  12.  La promotion est-elle un levier de fidélisation ? 
  13.  La mesure de la satisfaction client dans les marchés industriels ; 
  14.  Comment les marques adaptent-elles leurs packagings à la cible des enfants ? 
  15.  Les fusions/acquisitions facteur de changement de nom des entreprises ; 
  16.  Offre de services pour une firme industrielle : Source d’un avantage concurrentiel ;  Analyse de la phase de lancement du nouveau produit « X » ; 
  17.  Géomarketing : localisation commerciale multiple ; 
  18.  Mesure de l’efficacité publicitaire: Evaluation de la campagne publicitaire ; 
  19. Enjeux des nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) dans la gestion de la clientèle d’une banque (Cas X) ;
  20. Stratégie de fidélisation dans le marketing des service ; 
  21. La stratégie de marque comme élément de consolidation de la relation client : cas « X » ; 
  22. Du conventionnel au numérique, l’e-communication mode de vie moderne des entreprises (cas PME marocaines) ;  Les enjeux de la relation client ; 
  23. L’efficacité des actions publicitaires et promotionnelles sur l’accroissement du chiffre d’affaires d’une entreprise industrielle et commerciale ; 
  24. Le commerce électronique : enjeux et perspectives pour l’économie marocaine ;
  25. Communication multi-canal intégrée : cas d’une campagne Méditel ; 
  26. Le droit de la presse écrite au Maroc ; 
  27. Les effets de la publicité sur les attitudes du consommateur : cas des compagnes publicitaires de la téléphonie mobile des opérateurs Télécoms ;
  28. Gouvernance et régulation des services publics : cas de l’Agence Nationale de réglementation des télécommunications ; 
  29.  Gouvernance et stratégie du secteur des télécommunications : cas du Maroc Télécom en Afrique ;

Finance publique : préparation d'exécution contrôle de budget

Les finances publiques sont l'étude des règles et des opérations relatives aux deniers publics. Selon le critère organique, les finances publiques peuvent aussi être présentées comme l’ensemble des règles gouvernant les finances de l’État, des collectivités territoriales, des organismes de sécurité sociale, des établissements publics et de toutes autres personnes morales de droit public. C'est un champ à la croisée du droit fiscal, du droit constitutionnel, ainsi que de la comptabilité publique.


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Controle de gestion : LES METHODES DES COÛTS DIRECTS ET DES COÛTS SPECIFIQUES

Objectif(s) :

o Découverte des particularités des méthodes des coûts directs et des coûts
spécifiques.
· Pré requis :
o Méthode des coûts variables.
· Modalités :
o Principes,
o Exemple,
o Synthèse.


TABLE DES MATIERES

Chapitre 1. MÉTHODE DES COÛTS DIRECTS.  
1.1. Intérêt. 
1.2. Principes. 
1.3. Exemple. 
1.3.1. Énoncé et travail à faire. 
1.3.2. Document 1. 
1.3.3. Document 2. 
1.3.4. Annexe.  
1.3.5. Correction. 
Chapitre 2. MÉTHODE DES COÛTS SPÉCIFIQUES. 
Chapitre 3. SYNTHÈSE.  


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Controle de gestion : LA METHODE DU COÛT MARGINAL

Objectif(s):

o Découverte de l'analyse marginale appliquée aux coûts et aux marges.
· Pré requis :
o Notions de dérivée.
· Modalités :
o Principes,
o Exemples,
o Synthèse,
o Applications,
o Sujet d'examen,
o Complément.

TABLE DES MATIERES

Chapitre 1. INTRODUCTION. 
1.1. Définition. 
1.2. Exemple.  
1.3. Intérêt. 
Chapitre 2. ANALYSE D'UNE SITUATION. 
2.1. Enoncé et travail à faire. 
2.2. Annexe. 
2.3. Correction. 
2.3.1. Travail 1 
2.3.2. Travail 2 
2.3.3. Travail 3.  
Chapitre 3. GENERALISATION.  
Chapitre 4. EXPRESSIONS MATHEMATIQUES.  
4.1. Coût moyen.  
4.2. Coût marginal. 
4.3. Représentations graphiques.  
Chapitre 5. LE COÛT MARGINAL, OUTIL DE GESTION 
5.1. Expression. 
5.2. Principe de l'optimum technique. 
5.3. Principe de l'optimum économique ou optimum financier.  
5.4. Remarques. 
5.5. Applications marginalistes en économie. 
Chapitre 6. SYNTHESE. 
RESSOURCES EN GESTION POUR L’INGENIEUR
- 2 -
Chapitre 7. APPLICATION 01. 
7.1. Enoncé et travail à faire. 
7.2. Annexe.  
7.3. Correction 


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AUDIT INTERNE Par M.zied-boudriga

L'audit interne est une activité indépendante et objective qui permet de donner à une organisation une assurance sur le degré de maîtrise de ses opérations, lui apporte ses conseils pour les améliorer, et contribue à créer de la valeur ajoutée.
Il aide cette organisation à atteindre ses objectifs en évaluant, par une approche systématique et méthodique, ses processus de management des risques, de contrôle, et de gouvernance d'entreprise, et en faisant des propositions pour renforcer leur efficacité.

Controle de gestion : LA METHODE DES COÛTS PREETABLIS



· Objectif(s) :

o Découverte des particularités de la méthode des coûts préétablis.
· Pré requis :
o Classification des charges et des coûts selon la méthode des coûts complets.
· Modalités :
o Principes,
o Exemples.

TABLE DES MATIÈRES :

Chapitre 1. PRINCIPES GÉNÉRAUX.
1.1. Définition.
1.2. Coûts et terminologie.
1.2.1. Coûts standards.
1.2.2. Coûts budgétés .
1.2.3. Coûts moyens prévisionnels
1.2.4. Terminologie.
1.3. Intérêt.
Chapitre 2. LA NATURE DES COÛTS.
2.1. Charges directes.
2.2. Charges indirectes.
Chapitre 3. EXEMPLE DE CALCUL DE BUDGETS.
3.1. Énoncé et travail à faire.
3.2. Annexes.
3.2.1. Annexe 1.
3.2.2. Annexe 2.
3.3. Correction.
3.3.1. Travail 1.
3.3.2. Travail 2.
Chapitre 4. EXEMPLE DE CALCUL DU COÛT PRÉÉTABLI.
4.1. Enoncé et travail à faire.
4.2. Annexe.
4.3. Correction.
Chapitre 5. EXEMPLE DE CALCUL DES COÛTS DE PRODUCTION.
5.1. Enoncé et travail à faire.
5.2. Annexe.
5.3. Correction.
RESSOURCES EN GESTION POUR INGÉNIEURE
- 2 -
Chapitre 6. MISE EN OEUVRE DE LA MÉTHODE DES COÛTS STANDARDS.
6.1. Définition du standard.
6.2. Modification des temps de référence.
6.3. Consommations de matières premières
6.4. Avantages.
6.5. Inconvénients.
6.6. Conséquences.

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Contrôle de gestion : LA METHODE DES COÛTS PREETABLIS


TABLE DES MATIERES
Chapitre 1. PRINCIPES GENERAUX.
1.1. Définition.
1.2. Coûts et terminologie.
1.2.1. Coûts standards.
1.2.2. Coûts budgétés.
1.2.3. Coûts moyens prévisionnels.
1.2.4. Terminologie.
1.3. Intérêt.  
2.1. Charges directes.
2.2. Charges indirectes.
Chapitre 3. EXEMPLE DE CALCUL DE BUDGETS.
3.1. Enoncé et travail à faire.
3.2. Annexes.
3.2.1. Annexe 1.
3.2.2. Annexe 2.
3.3. Correction.
3.3.1. Travail 1.
3.3.2. Travail 2.
Chapitre 4. EXEMPLE DE CALCUL DU COÛT PREETABLI.
4.1. Enoncé et travail à faire.
4.2. Annexe.
4.3. Correction.
Chapitre 5. EXEMPLE DE CALCUL DES COÛTS DE PRODUCTION.
5.1. Enoncé et travail à faire.
5.2. Annexe.
5.3. Correction.
RESSOURCES EN GESTION POUR L’INGENIEUR
- 2 -
Chapitre 6. MISE EN OEUVRE DE LA METHODE DES COÛTS STANDARDS.
6.1. Définition du standard.
6.2. Modification des temps de référence.
6.3. Consommations de matières premières.
6.4. Avantages.
6.5. Inconvénients.
6.6. Conséquences.

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Controle de gestion : LA METHODE DES COÛTS COMPLETS


INTRODUCTION.

Selon la méthode des coûts complets, il est possible d’évaluer le montant des charges cumulées à
chaque stade du cycle d’activité ou du processus de production de biens et de services et de leur
distribution soit :
· les coûts d’achat,
· les coûts de production,
· les coûts hors production,
· les coûts de revient.

TABLE DES MATIERES

Chapitre 1. INTRODUCTION.
Chapitre 2. LES COÛTS D'ACHAT
2.1. Principes.
2.2. Composition.
2.2.1. Charges directes.
2.2.2. Charges indirectes.
2.3. Méthodes de calcul.
2.4. Transferts dans les comptes de stocks.
Chapitre 3. LES COÛTS DE PRODUCTION.
3.1. Principes.
3.2. Composition.
3.2.1. Charges directes.
3.2.2. Charges indirectes.
3.3. Méthodes de calcul.
3.4. Transferts dans les comptes de stocks.
Chapitre 4. LES COÛTS HORS PRODUCTION.
4.1. Les coûts de la distribution.
4.2. Les autres charges hors production.
Chapitre 5. LES COÛTS DE REVIENT.
5.1. Définition.
5.2. Cas de l'entreprise commerciale.
5.3. Cas de l'entreprise industrielle.
5.4. Cas de l'entreprise prestataire de services.
Chapitre 6. LES VENTES (ou chiffre d'affaires ou recettes).
Chapitre 7. LES RESULTATS ANALYTIQUES.
Chapitre 8. SYNTHESE.

Contrôle de gestion : LA METHODE DES COÛTS CIBLES

La méthode des « Coûts Cibles » consiste à déterminer pour un produit quelconque un « coût
objectif » à ne pas dépasser en raison du prix imposé par le marché et de la marge bénéficiaire
prévue et définie par l’entreprise.

TABLE DES MATINIÈRES :

Chapitre 1. PRINCIPES.

Chapitre 2. CARACTÉRISTIQUES.
2.1. Fixation du prix de vente .
2.2. Détermination de la marge.
2.3. Valuation du coût.
Chapitre 3. EXEMPLE.
3.1. Énoncé et travail à faire.
3.2. Correction.
3.2.1. Travail 1.
3.2.2. Travail 2.
3.2.3. Travail 3.
3.2.4. Travail 4.
3.2.5. Travail 5.


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Contrôle de Gestion : SYNTHESE DES METHODES DE CALCUL ET D'ANALYSE DES COÛTS

INTRODUCTION. 

Chapitre 1. COÛTS COMPLETS.
Chapitre 2. COÛTS VARIABLES. 
Chapitre 3. COÛT MARGINAL.
Chapitre 4. COÛT D'IMPUTATION RATIONNELLE. 
Chapitre 5. COÛTS PAR ACTIVITÉ (ABC). 
Chapitre 6. COÛTS DIRECTS.
Chapitre 7. COÛTS SPÉCIFIQUES.
Chapitre 8. COÛTS CIBLES.
Chapitre 9. COÛTS PRÉÉTABLIS.

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CONTROLE DE GESTION : Méthode Activity Based Costing (ABC)


INTRODUCTION.

Cette méthode est fondamentalement différente des méthodes traditionnelles que sont :
· la méthode des coûts complets, la méthode des coûts partiels,
· la méthode des coûts variables, la méthode des coûts cibles,
· la méthode des coûts directs, la méthode des coûts spécifiques.
Ces méthodes traditionnelles, étudiées précédemment, font l'objet de critiques de la part de certains gestionnaires, qui proposent une approche nouvelle basée sur les coûts, non plus par produit ou par service, mais sur les coûts spécifiques aux différentes activités des entreprises.
Ce nouveau système de comptabilité de gestion est né aux Etats Unis d'Amérique, à la fin des années 80. Pour l'instant, cette méthode est utilisée en France, dans certaines grandes entreprises  comme France Télécom, Legrand, Usinor, DHL, EDF-GDF avec la méthode des "Centres de Profits".


PLAN :

Chapitre 1.INTRODUCTION.
Chapitre 2. ORIGINES DE LA METHODE ABC. 
2.1. Genèse de la méthode.  
2.1.1. Automatisation des processus de production.
2.1.2. Recours à la sous-traitance. 
2.1.3. Emergence de certaines fonctions.
2.1.4. Réduction de la durée du cycle de vie des produits.
2.1.5. Evolution de l'activité globale de l'entreprise. 
2.1.6. Travail en flux tendus.
2.1.7. Evolution des charges de personnel.
2.2. Conséquences de la méthode. 
Chapitre 3. LA METHODE ABC. 
3.1. Caractéristiques. 
3.2. Objectifs. 
3.3. Schéma de principe. 
3.4. Techniques et démarche.
3.5. Conséquences.  
3.6. Exemples d'activités.  
3.7. Coûts de revient des produits.
3.8. Analyse critique.

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